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LES HYDROS

23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 07:46

vu sur le site volodalen

MP3 I

DepuiS l'arrivée des minuscules lecteurs MP3, nous sommes nombreux à courir en musique. Cette habitude modifie-t-elle nos réactions en course ?
Des chercheurs ont demandé à des sportifs de choisir une musique motivante et une musique neutre puis de réaliser une performance sur 400 m avec chaque type de musique et enfin sans musique. Les "sportifs en musique" ont amélioré leurs chronos ceci quelle que soit la musique. L'amélioration des performances avec musique avait déjà été observée dans des efforts d'endurance. Elle est confirmée pour des efforts anaérobies.

Référence : The effects of synchronous music on 400-m sprint performance. Simpson SD, Karageorghis CI. J Sports Sci. 2006;24(10):1095-102.

MP3 II

L'étude qui précède laisse penser que si la musique aide à améliorer les performances, le type de musique (motivante, neutre…) n'a pas d'effets sur notre course. Et pourtant…
Lorsque nous écoutons une musique au rythme rapide en "montant le son", nous avons tendance à accélérer notre course. A l'inverse, nous préférons une musique au rythme plus lent (mais pas trop) pour un footing tranquille. Tout se passe comme si nous synchronisions nos rythmes internes au tempo de la musique. Ce synchronisme a cependant des limites. Plus la difficulté de l'effort s'accroit, plus nous avons tendance à fixer notre attention sur notre ressenti. Si les distractions musicales peuvent influencer notre course et les réactions de notre corps, face à la difficulté, elles perdent de leur importance.

Référence indicative : The effects of music tempo and loudness level on treadmill exercise. Edworthy J, Waring H. Ergonomics. 2006 15;49(15):1597-610.

MP3 III

De nombreux coureurs refusent de courir en musique. Ils déclarent qu'avec "cet engin dans les oreilles", ils n'arrivent pas à moduler leur effort, à ressentir les signaux (plaisir, douleur, appuis…) en provenance de leur corps.
A notre connaissance, aucune étude scientifique n'a tenté de relier ce ressenti avec des données objectives (nombre de blessures, périodes de fatigue, amélioration après plusieurs semaines d'entraînement…). Les connaissances manquent ; reste le ressenti.

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23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 07:31

c'est christophe qui s'y colle aujourd'hui

 

 
 


ne ratez pas demain un grand moment de sport ...
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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 08:07

article complet : http://www.irbms.com/Eau_dort.htm

 

Le réservoir naturel de germes est représenté par les rongeurs, les animaux domestiques, qui éliminent des quantités importantes de bactéries dans leurs urines, et contaminent ainsi les bassins. Ces bactéries survivent longtemps hors des organismes animaux dans les sols, les eaux, les boues.
La contamination à l’homme se fait soit pas contact direct, soit par les urines des animaux infectés.
A partir d’une « porte d’entrée » située au niveau de la peau ou des muqueuses, par inhalation d’eau contaminée par exemple, les bactéries se disséminent dans l’organisme par voie sanguine.

 Signes cliniques :
On distingue plusieurs formes cliniques d’infection, en fonction du type de bactérie (plus de 130 sérotypes différents).
La forme la plus grave, et heureusement exceptionnelle, évolue vers une insuffisance rénale et hépatique, des hémorragies multiples, des troubles neurologiques. La convalescence est souvent longue, et le pronostic vital parfois mis en jeu (environ 5% des cas).

Les formes « bénignes » sont celles que l’on rencontre habituellement. L’incubation est silencieuse, pendant 1 à 2 semaines. Tout commence par une 1ére phase « d’invasion », marquée en général par une fatigue, un syndrome grippal avec fièvre et frissons, douleurs musculaires et articulaires, et … souvent rien d’autre. Bref, rien de bien caractéristique. Ceci d’autant plus, que vu les circonstances, le sportif a toutes les raisons d’être « fatigué » à l’issue d’une compétition ou le baigneur « légèrement grippé ». Ceci l’amènera à ne pas consulter de façon systématique devant l’apparition de ces signes cliniques, attribués à une difficulté de récupération de l’effort sportif, plutôt qu’à une réelle infection.
Les symptômes disparaissent rapidement pour réapparaître après quelques jours, accompagnés de douleurs abdominales, et éventuellement de signes neurologiques, oculaires (rougeur) ou rénaux. C’est au cours de cette 2éme phase que sont fabriquées les défenses immunitaires de l’organisme (anticorps spécifiques).

La biologie permettra d’affirmer le diagnostic (sérologie et mise en culture dès le 5ém jour).
Le traitement consiste à prescrire un antibiotique, qui est d’autant plus efficace qu’il est administré précocement. Il existe un vaccin, qui reste réservé aux professionnels exposés, et qui ne protége que contre la forme la plus sévère, et n’empêche donc pas les symptômes d’une contamination bénigne.

Ampleur du problème ?
Une étude américaine a permis de préciser l’ampleur du problème en triathlon, sur un échantillon de 876 triathlètes (*). 12% ont déclaré avoir été malades sans que la relation de cause à effet ne soit clairement établie. Par contre, sur les 474 prélèvements sanguins réalisés, 11% sont revenus positifs à la leptospirose, apportant une preuve irréfutable d’une contamination. Ce qui démontre que 11% des triathlètes ont contracté la maladie, sans pour autant avoir eu des symptômes majeurs.
Cette étude apporte la preuve que le risque infectieux consécutif à l’épreuve natation dans des bassins extérieurs existe bien, et justifie des mesures de prévention.

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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 07:47

 

Inscription postée.

voici la dream team pour le 4 février :

alexandra 100 dos + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
mathilde 100 dos + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
jean yves 100 nl + relais 500 nl + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
philippe 100 4n + relais 500 nl + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
fred 50 pap + relais 500 nl + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
marc (alligator) 200 nl + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
boris (alligator) 50 brasse + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl
laurent relais 500 nl + relais 8*25 planche + relais 8*50 nl

pour toutes infos

lbrunetti@wanadoo.fr

 

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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 07:37

philippe nous fait sa star .... bon alors tu nous le montres ce beau kuota k factor ?

.  

 



 


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19 janvier 2007 5 19 /01 /janvier /2007 11:38

 

Pour les championnats du monde privas nous avons avec nous 2 triathlètes des Alligators: LORA RUNCO MARC et son fils BORIS

Il s'avère que marc est tres fort puisque on peut lire sur le site FFN :

Top-Ten France Maîtres en bassin de 50 m.
Messieurs - C4 (40 - 44 ans)
Dernière mise à jour le : 04/11/06

dans le top ten pour le 800 m NL

dans le 1500 NL

dans le 100 dos

dans le 200 dos

dans le 200 4 nages

et dans le 400 4 nages

Ca va quand meme lui faire drôle de faire équipe avec nous 

 

 

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19 janvier 2007 5 19 /01 /janvier /2007 11:23

mathilde en démonstration

nageuse de l'équipe bien sur

 

 


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18 janvier 2007 4 18 /01 /janvier /2007 09:08

lu sur onlinetri, article de rodolphe debureau

Les erreurs les plus fréquemment commises par les triathlètes

La nouvelle année qui commence est peut être le bon moment pour prendre de bonnes résolutions et ainsi essayer de les éviter.

1) le respect des allures
Vouloir s'entraîner trop vite quand il faudrait y aller doucement sous prétexte que l'on est bien, et qu'aller trop doucement, c'est ''chiant'', puis se plaindre après qu'on est crevé pour aller plus vite lors les séances de qualité.
S'entraîner doucement engendre des adaptations importantes (capillarisation, lipolyse,...), permet de travailler sa technique, de réaliser des sorties longues, et permet surtout de récupérer en vu des séances plus qualitatives.

2) ne pas raisonner comme un triathlète
Ne pas développer les allures prioritaires qui seront utiles en compétition, ne jamais enchaîner, remettre le guidon aéro quinze jours avant les premières compétitions et se plaindre ensuite de mal de dos, ne jamais nager en milieu ouvert, nager 5x par semaine et rouler seulement une fois, se demander pendant 1 heure s’il vaut mieux aller rouler ou aller courir, faire ses séries de 200m en cap en moins de 33'' pour courir après péniblement à 15km/h,...

3) ne pas chercher à réellement améliorer ses points faibles
S’améliorer dans la discipline où l'on est le plus faible nécessite un surcroît de travail, de rigueur et de motivation, et nécessite une redistribution de la charge de travail.

4) toujours quantifier l'entraînement en volume horaire
D’autre moyen de quantification de charge existe, et raisonner uniquement en volume a un coté pervers à vouloir en faire toujours plus.

5) croire qu'acheter une paire de roues à 6000 F va permettre de gagner 3' sur 40km en roulant à 35km/h.

6) ne pas accorder assez d'importance aux ''à coté''
Alimentation, compléments alimentaires, soins annexes (kiné, ostéopathe), avoir du matériel adapté (changer très régulièrement ses chaussures de cap, être posé efficacement sur son vélo),...

7) croire que tel type de matériel est super parce tel triathlète pro l'utilise.

8) faire des paris stupides ou des pronostics de temps après avoir bu sa douzième bière !

9) penser que payer 300 euros pour faire un Ironman est une bonne affaire...

Bonne année à tous
RD

ps de moi : on est pas obligé d'être d'accord et vous pouvez commenter !

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18 janvier 2007 4 18 /01 /janvier /2007 08:44

 

ah ben c'est moi tiens ...

membre aussi de l'équipe

.

 



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17 janvier 2007 3 17 /01 /janvier /2007 09:54

.

notre ami jean yves nous fait sa petite démonstration .

A noter qu'il participera aux championnats du monde de nage interclub de privas

.

 

 


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