Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LE FORUM

Rechercher

LES HYDROS

15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 22:12

FESTRICAP

Festival du triathlon en Capcir

17, 18 et 19 juillet 2009

(Les Angles - 66)

Des épreuves pour tous... Un déplacement CLUB idéal

En jullet 2009, le club des Angles Triathlon, vous accueille dans les Pyrénées pour 3 jours de compétititon et de convivialité.

Tous les formats de course vous seront proposés, de la distance Ironman, au découverte. Cette variété d'épreuve fait du Festricap, un déplacement CLUB idéal, tout le monde trouvant une distance en rapport avec sa forme et son expérience.

Ce festival marquera la naissance de l'altriman, une épreuve hors normes, empruntant les routes du Tour de France. Avec ces 5000 mètres de dénivelé positif en vélo, son marathon exigeant et ses paysages exceptionnels, peu de temps sera nécessaire pour en faire un mythe du triathlon. 

Les autres épreuves ne seront pas en reste avec des parcours "montagne" et des paysages magnifiques. 
- Triathlon de garotxes (half)
- Triathlon du Capcir (CD)
- Triathlon de matemale (sprint)
- Triathlon du lac (découverte)
- IronKids (Avenir)
- Traversée du lac.

Rendez-vous en juillet 2009.


C'est garanti : 
- sécurité maximale, 
- organisation professionnelle, 
- convivialité, 
- prestation de qualité, 
- prix raisonnables. 

Retrouvez toutes les infos sur :
www.festricap.com ou contactez-nous : 
Lilian OLIVE
06.63.72.87.28

Benoît PHALIPPOU
04.68.27.31.47 

Partager cet article
Repost0
12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 15:30
Pour vous préparer et vous perfectionner sur nos stages de Rosas et Platja d'Aro (mars/avril/mai 2009)
 www.53douze.com
Pour de plus amples informations :
 
53douze
stages et séjours cyclistes
131 Rue Théophile Roussel
48200 Saint Chély d'Apcher
Tel : +33(0)4 66 42 80 72
Fax : +33(0)4 66 42 83 56
E-mail : 53.douze@orange.fr
Partager cet article
Repost0
17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 12:45

Mercredi 22 octobre 2008
le Centre Médico-Sportif de la C2A propose, dans le cadre de ses entretiens et ateliers, une réflexion sur le thème :

 

Prévention et traitement des récidives des entorses de la cheville :

comment faire évoluer l’entraînement dit « proprioceptif » ?

 

 

Programme prévisionnel :

17H45-18H00 : accueil des participants

18H00-18H30 : rappels sur la programmation neuro-musculaire et la proprioception – Ch. Guilhamat et. Cl. Gibert, MSc, préparateurs physiques, CMS-C2A.

18H30-19H00 : présentation d’un nouveau concept d’orthèse de rééducation - P. Toschi, MKT, concepteur CEVRES.

19H00-19H15 : pause

19H15-19H45 : au choix :

- ateliers de « proprioception dynamique » traditionnelle - Ch. Guilhamat et. Cl. Gibert.

-  mise en oeuvre de l’orthèse de rééducation « Myolux TM » – J. Ferrandez, MSc, doctorant en STAPS.

19H45-20H15 : évaluation scientifique d’une orthèse de rééducation – N. Forestier, PhD,  MCU et directeur du département STAPS de l’Université de Savoie.

20h15-20H45 : table ronde - animée par Charles Mercier-Guyon, MD, médecin du sport et coordinateur du CMS-C2A.

Lieu 
:

Gymnase Berthollet - 5, boulevard Taine – 74000 Annecy.

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 21:24
BONJOUR,
 
POUR INFORMATION ...

Les entorses de la cheville constituent un véritable casse-tête. Les sportifs tout comme les non sportifs peuvent en être victimes. Les résultats des équipes et/ou les entreprises en souffrent ou encore le système de protection sociale qui en fait les frais.

Une orthèse de rééducation originale a été réalisée qui permettrait de réduire notablement les risques de récidive. Cette orthèse a fait l'objet d'une étude scientifique publiée dans une revue internationale prestigieuse - American journal of sport medecine - dont la rigueur tranche sur les habituelles pratiques empiriques.

La présentation de cette orthèse aura lieu - le mercredi 22 octobre, à partir de 18h00 au CMS-C2A, 5 Bd Taine à Annecy. Ce sera l'occasion :

- de faire le point sur les connaissances de bases dans les domaines de la programmation neuro-musculaire et de la proprioception ;
- d'assister à la présentation de procédés simples de "rééducation proprioceptive" ;
- de sonder les arcanes de la recherche scientifique afin de mieux comprendre les tenants et les aboutissants - en matière de santé et de sport.
 
Dans l'attente de vous voir à cette soirée, je vous adresse mes salutations sportives.
 
 
Claude GIBERT - 06.32.97.76.92.
Centre Médico-Sportif Communauté d'Aglomération d'Annecy
Partager cet article
Repost0
2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 09:54
Voici les coordonnées d'un blog intéressant : http://triblogantoine.blogspot.com/

Apparement Antoine ne s'entraîne qu'entre 5-7 heures par semaine et a donc quelques astuces pour mieux s'entraîner dans l'optique d'un Ironman...

Regardez dans les archives (Décembre, Janvier...), vous trouverez ses plans d'entraînements et ses réflexions.
Partager cet article
Repost0
31 mai 2007 4 31 /05 /mai /2007 08:04

pompé de l'excellent site IRBMS

 

FONCTIONS SPECIFIQUES DES ABDOMINAUX CHEZ LE SPORTIF

Dr Frédéric MATON
28/04/2006

 

Trop souvent négligés dans la préparation physique, les abdominaux sont pourtant parmi les muscles les plus essentiels à travailler, et ceci quelque soit la discipline pratiquée. En effet les avantages d’un bon gainage abdominal se fond ressentir sur la posture et sur la transmission des chaînes musculaires, et de façon indirecte sur les performances et la prévention des blessures.
A l’inverse, une sangle abdominale insuffisante aura des répercussions néfastes, même si de nombreux sportifs n’en ont pas conscience.

On considère trop souvent que la station debout, et plus généralement la statique générale du squelette, est assurée par le rachis et par l’importante masse musculaire para vertébrale. Si leur rôle est essentiel, les muscles abdominaux y participent tout autant, par une action de stabilisation du bassin. En effet, deux actions s’opposent : celle des muscles dorsolombaires puissants en arrière, et celle de la ceinture abdominale en avant. L’équilibre de ces deux groupes musculaires va conditionner la position du bassin.
Il faut donc s’imaginer qu’un gainage abdominal renforcé va contribuer à compenser l’importante hypertonie des muscles para vertébraux, pour rééquilibrer et stabiliser le bassin.
En cas de déficience abdominale, le bassin aura tendance à plonger en avant, avec pour conséquence une hyperlordose lombaire et souvent une raideur du quadriceps associée. L’ensemble de ces anomalies de statique peut amener secondairement des lésions de surcharge lors de la pratique sportive (contractures, raideurs, tendinite…).

L’autre fonction essentielle de la ceinture abdominale est la transmission des chaînes musculaires propulsives entre membres supérieurs et inférieurs
C’est par exemple le cas en natation, ou la ceinture abdominale va stabiliser le bassin, éviter la rotation exagérée du corps, et le rendre plus horizontal. Cette posture va améliorer la fluidité du nageur dans l’eau, et donc la vitesse de nage, par diminution de résistances.
C’est également le cas en course à pied ou les abdominaux interviennent dans la transmission de l’élan produit par les membres supérieurs sur la foulée, en accentuent ainsi la propulsion.
Dans les sports d’équipe, la ceinture abdominale contribue à améliorer l’équilibre, et stabiliser les chaînes musculaires croisées, en particulier lors de stations unipodales.

Enfin, certaines méthodes de renforcement abdominal permettent d’améliorer la proprioception de ces muscles et du bassin, avec un effet positif sur la coordination motrice, et par conséquent sur la performance.

Partager cet article
Repost0
23 mai 2007 3 23 /05 /mai /2007 08:44

Pompé du toujours excellent site VOLODALEN

 

Et l'ultra ?

Si les adaptations physiologiques liées à l'endurance commencent à être connues, il n'en est pas de même de l'ultra-endurance. Que se passe-t-il dans le corps des athlètes qui poursuivent un effort sans interruption pendant 4 ou 5 jours ?

Une équipe danoise a tenté de lever une partie du mystère en s'intéressant aux paramètres respiratoires mais aussi musculaires, métaboliques (sucres, graisses…) ainsi qu'au fonctionnement des gènes.

Résultats

Après des jours d'effort, les athlètes avaient perdu 1.6 kg de graisse. Le taux de graisse circulante disponible comme substrat énergétique était multipliée par 3.5. Dans le même temps, les réserves en sucres des muscles avaient été divisées par deux. Comme les adaptations ne s'arrêtent à un seul "étage" de l'organisme, les changements relevés au niveau des substrats s'accompagnaient de modifications dans la régulation des gènes. Par exemple, après l'effort, les gènes impliqués dans la synthèse des sucres et dans la destruction des graisses étaient activés.

La première conclusion que l'on pourrait tirer de cette étude, c'est que l'exercice de durée s'accompagne d'une utilisation marquée des graisses. Mais une seconde pensée pourrait nous traverser l'esprit à la lecture de ces résultats. Lorsque le corps doit s'adapter à une situation importante de stress, de la molécule aux gènes en passant par la tête, le souffle et le cœur, nul élément de ce corps n'a de "passe droit", "tous sont recrutés".



Référence : Increased fat oxidation and regulation of metabolic genes with ultraendurance exercise. Helge JW , Rehrer NJ , Pilegaard H , Manning P , Lucas SJ , Gerrard DF , Cotter JD . Acta Physiol (Oxf). 2007.

 

Partager cet article
Repost0
16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 08:23
INFO CMS-C2A
 
1)   Fin de saison 2006/2007 et projection 2007 /2008 :
a.       N’oubliez pas de nous retourner rapidement les fiches de renseignements 2007/2008 ainsi que les demandes provisoires de suivi. Merci de prendre soin de bien renseigner les différentes rubriques afin que nous puissions, entre autres, contacter rapidement les bonnes personnes lorsque nécessaire.
b.      Pensez à prendre contact avec nous pour le bilan de fin de saison et la projection 2007/2008 lorsque vos équipes ont été examinées.
üBéatrice SEGADELLI É 04.50.57.48.46. - ¿ cms@agglo-annecy.fr ou Claude GIBERT È06.32.97.76.92 - ¿ cgibert@libertysurf.fr
 
2)   Séances du mercredi soir de 19H00 à 20H00
Nous vous rappelons que le CMS a un créneau au gymnase Berthollet le mercredi soir de 19H00 à 20H00 – en dehors des vacances scolaires et des ateliers - et que vous pouvez, moyennant un coup de fil de l’entraîneur, nous adresser vos sportives/sportifs aux fins de :
-         ré-athlétisation – retour de blessure ou de maladie ;
-         régénération – à l’issue de cycles de « choc » ou de compétitions ;
-         préparation physique – générale ou multiforme orientée.
 
üClaude GIBERT È06.32.97.76.92 - ¿ cgibert@libertysurf.fr ou Béatrice SEGADELLI É 04.50.57.48.46.
 
3)      Quelques dates à retenir
a.     Les ateliers
MERCREDI 13/06/07 :
« Peut-il y avoir une préparation physique générale ? »
ð l’exemple du renforcement musculaire
17H45/19H00 : exposé
Haltérophilie, culturisme et musculation : présentation critique
Spécificités du renforcement musculaire
Grille d’analyse de l’engagement musculaire en sport
19H00/20H00 : ateliers pratiques
20H00/20H30 : questions/réponses
üClaude GIBERT È06.32.97.76.92 - ¿ cgibert@libertysurf.fr ou Béatrice SEGADELLI É 04.50.57.48.46.
 
b.     Les évaluations
-         Pré-programmées :
1.      VAMEVAL les 22 et 29 mai 2007 à partir de 18H30 au stade d’Annecy-le-Vx – évaluation de la VMA : pensez à vos cardio (…). Ouvert à tous sur prescription de l’entraîneur responsable.
2.      TUB II le 12 juin à partir de 18H30 au stade d’Annecy-le-Vx – évaluation de la VMA et du seuil : pensez à vos cardio (…). Ouvert à tous sur prescription de l’entraîneur responsable.
3.      Batterie « explosivité ». Dates et lieu à déterminer.
-         A déterminer, par club :
Ski, rollers, cyclisme, triathlon, natation et course à pied.
ü Claude GIBERT È06.32.97.76.92 - ¿ cgibert@libertysurf.fr ou Béatrice SEGADELLI É 04.50.57.48.46.
 
P.S : n’hésitez pas à nous faire part de vos suggestions ou de vos interrogations.
Partager cet article
Repost0
10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 08:21

article pompé sur le site irbms du Dr Patrick BACQUAERT 30/03/07

.

L’optimisation des performances passe souvent chez le sportif par la prise de vitamines ou autres compléments alimentaires.

On a tendance à penser que plus on prendra de vitamines, plus on compensera les carences, plus les résultats sportifs seront améliorés.

Il faut combattre cette idée tout en acceptant que le sport peut engendrer certaines fatigues dues à l’exigence même de l’entraînement et de la compétition, avec une consommation plus importante que chez le sédentaire, d’énergie engendrant de possibles carences.

On a donc trop tendance à prendre des vitamines sans une évaluation préalable. Une bonne nutrition chez le sportif est souvent la réponse adaptée et suffisante à la prévention des coups de fatigue.

La découverte des vitamines fut une véritable révolution. On retrouve dans des écrits chinois datant de 2600 ans avant JC, la description de maladies comme le béribéri ou le scorbut liées à une mauvaise alimentation et un manque de vitamines.

En fait, c’est en 1911 que Funk va faire apparaître un nouveau nom : la vitamine, venant de vie ou de vital.

Depuis, de nombreux chimistes ont réalisé des travaux pour découvrir, synthétiser et fabriquer des vitamines.

Il existe 13 vitamines, classées selon deux catégories, appelées vitamines liposolubles ou vitamines hydrosolubles.

Les vitamines liposolubles sont les vitamines A, D, E, K

Les vitamines hydrosolubles sont les vitamines B1, B2, PP, B5, B6, B8, B9, B12 et la vitamine C.

Les vitamines permettent d’assurer le fonctionnement de l’organisme qui est capable de les stocker et de les utiliser à bon escient quand cela est nécessaire. En France, et dans la plupart des pays civilisés, l’apport alimentaire équilibré suffit pour procurer une ration quotidienne de vitamines hydrosolubles et liposolubles satisfaisante.

Toutefois, dans certains cas, lors de maladies chroniques, de travaux pénibles, voire lors de pratique de sport intensive et l’apparition du surentraînement, on peut retrouver dans l’organisme par dosage des insuffisances en vitamines.

Les apports nutritionnels conseillés (A.N.C.) recommandent pour chaque type de population (âge, sexe, activité et mode de vie) un ordre de grandeur nécessaire et suffisant d’apports en vitamines.

Des circonstances de la vie (grossesse, personne âgée, adolescence) mais également du mode vie (consommation de tabac, alcool ou inactivité) sont des facteurs de risque vers des hypovitaminoses.

Le risque d’insuffisance en vitamines existe donc. Il faut les connaître pour mieux les contrôler.

Une « carence » de vitamines apporte globalement les effets suivants :

• vitamine A
gêne de la vision nocturne, peau sèche, sensibilité au soleil, infections pulmonaires et ORL récidivantes, dégénérescence liés à l’âge, cécité, stérilité

• vitamine D
rachitisme chez l’enfant, ostéoporose et ostéopénie chez les personnes âgées, crises de tétanie

• vitamine E
anémie, atteintes cardiaques, troubles neurologiques et du système nerveux

• vitamine K
accidents hémorragiques

• vitamine B1
béribéri (fatigue, amaigrissement, manque d’appétit), troubles psychiques

• vitamine B2
inflammation de la peau et de la bouche, cheveux fragiles, ongles cassants, gêne à la luminosité

• vitamine PP
fatigue, diarrhées, troubles psychiques, dermite (pellagre)

• vitamine B5
chute des cheveux, troubles intestinaux, maux de tête, vomissements, fatigue

• vitamine B6
fatigue, nausées, irritabilité, état dépressif, anémie, dermite

• vitamine B8
asthénie, dermite, dépressions,

• vitamine B9
fatigue, état dépressif, troubles du sommeil, troubles psychiques, troubles neurologiques, neuropathies
favorise les avortements à répétition

• vitamine B12
fatigue, manque d’appétit, anémie, troubles de la mémoire, troubles neurologiques

• vitamine C
fatigue, manque d’appétit, somnolence, faible résistance aux infections

Cette liste, non limitative, n’est évidemment donnée que pour vous informer sur les conséquences d’un déficit grave en vitamines, prolongé et vérifié.

Il est nécessaire au moindre doute de consulter votre médecin, qui évaluera effectivement ces carences.

Il est nécessaire de différencier les âges de pratique sportive et de surveiller essentiellement des enfants et des adolescents.

L’apport en vitamines doit permettre à l’organisme d’assumer un volume d’entraînement supérieur à celui effectué par les enfants du même âge.

Par ailleurs, les performances doivent être réalisées sans mettre en cause la santé de l’enfant sportif. L’apport supplémentaire en vitamines peut donc, dans certains cas, être justifié. Mais pas d’apport systématique inutile.

Il semble que seuls les enfants ayant une activité sportive supérieure à 5 heures/semaine sont concernés par un déficit potentiel en vitamines B1, B2 et B6.

Pour l’ensemble des autres populations sportives, un équilibre alimentaire avec un apport énergétique adapté à la pratique semble suffisant pour éviter des hypovitaminoses.

Il faut retenir qu’un excès d’apport en vitamines ne peut en aucun cas améliorer la performance sportive. Bien au contraire, dans certains cas, un excès en vitamines peut être dangereux pour la santé.

Les vitamines ne sont pas des produits dopants, mais l’apport en vitamines couplé à la prise de compléments alimentaires peut avoir des effets positifs sur les tests urinaires réalisés pour la lutte contre le dopage.

Chez l’enfant et l’adolescent sportif, on doit être vigilant quant à l’apport de vitamines E et plus largement, celui des anti-oxydants.

La vitamine D peut être apportée en complément d’un régime supplémenté en calcium et en magnésium, surtout dans les sports qui se déroulent en salle. Cette supplémentation est conseillée en début et en fin d’hiver.

Chez tout sportif qui pratique un sport à poids entraînant des déséquilibres alimentaires, des carences vitaminiques peuvent survenir.

L’apport en vitamines du groupe B sera envisagé si l’enfant pratique un certain volume d’entraînement (+/- 3-5 heures/semaine) ; et si le médecin le juge nécessaire.

Des dosages vitaminiques sont possibles, ils sont coûteux et non remboursés. Parlez en à votre médecin. Il est le seul à pouvoir vous consulter.

Pour en savoir plus, www.irbms.com diététique du sportif

Que ce soit pour la vitamine C ou autre vitamine, dans le cadre d’une hygiène alimentaire normale et d’un entraînement bien contrôlé, il n’y a pas, sauf cas particulier, nécessité d’apporter une supplémentation en vitamine chez l’enfant et l’adolescent sportif.

Une pratique supérieure à 5 heures / semaine peut permettre de s’interroger sur quelques adaptations en fonction de l’hygiène alimentaire et des états de fatigue dus à un surentraînement ou à la compétition.

En aucun cas, un excès en vitamine permet de stimuler et d’améliorer la performance. Prendre des vitamines sans contrôle peut conduire à des hypervitaminoses ayant des effets contraires à ceux recherchés.

Le suivi médical, la bonne pratique des entraînements, la bonne hygiène de vie et une alimentation équilibrée sont des réponses adaptées à la prise inutile de vitamines, qui est dans une certaine mesure une première démarche vers une conduite dopante.


Partager cet article
Repost0
29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 08:53

Prévention du surentraînement - En

 

 

pratique…

 

 

Il est possible de s’entraîner de façon intensive et de maximiser sa capacité de performance tout en

 

 

prévenant prévenir le surentraînement. Le plan en 6 étapes vous y aidera.

 

 

1. Effectuer un suivi régulier de la performance physique

 

 

2. Périodiser et individualiser votre programme d’entraînement

 

 

3. Effectuer un suivi régulier de votre état psychologique

 

 

4. Tenir un cahier d’entraînement

 

 

5. Adaptez votre alimentation aux exigences de votre entraînement

 

 

6. Prévenir et gérer les problèmes de santé

 

 

Suivi régulier de la performance

 

 

�� Une réduction inexpliqués de la performance est un signe précurseur du surentraînement

 

 

�� Une évaluation régulière de la performance est utile pour contrôler l’efficacité de l’entraînement.

 

 

�� Réalisez le suivi régulier de la performance dans des conditions standardisées et reproductibles

 

 

(tests de laboratoire ou tests de terrain réalisés à l’intérieur).

 

 

�� Évaluez

 

 

iirégulièrement votre puissance maximale de travail lors d’efforts maximaux de différentes

 

 

durées.

 

 

�� Effectuez un suivi régulier de vos fréquences cardiaques sous maximales lors d’efforts réalisés à

 

 

puissance constante (une fréquence cardiaque réduite pour une puissance de travail sous maximale

 

 

indique généralement une adaptation positive à l’entraînement).

 

 

�� Si la fréquence cardiaque maximale diminue en conjonction avec une performance réduite,

 

 

augmentez la durée de la récupération.

 

 

Optimisation et individualisation du programme d’entraînement

 

 

“La qualité de l’entraînement, non sa quantité, est l’élément qui vous aide è devenir un meilleur

 

 

athlète, peu importe votre niveau de performance”

 

 

Grete Waitz, 9 fois vainqueur du Marathon de New-York

 

 

�� Évaluez l’indice de Difficulté Globale de la Séance (DGS) lors de chaque séance d’entraînement et

 

 

multipliez la valeur (1-10) par la durée de la séance.

 

 

�� Calculez la charge d’entraînement et assurez-vous que l’INDICE D’UNIFORMITÉ DE LA CHARGE

 

 

hebdomadaire soit égal ou inférieur à 1.

 

 

o CHARGE=DURÉE (MIN) X DIFFICULTÉ GLOBALE (1-10)

 

 

o INDICE D’UNIFORMITÉ = CHARGE MOYENNE HEBDO./ÉCART-TYPE DE LA CHARGE

 

 

o CONTRAINTE = CHARGE X UNIFORMITÉ

 

 

o FITNESS = CHARGE – CONTRAINTE

 

 

�� Si la monotonie dépasse 1, réduisez la difficulté (intensité et/ou volume) d’une ou deux séances

 

 

et/ou ajoutez un jour de récupération supplémentaire.

 

 

�� N’effectuez pas plus de 2-3 séances difficiles par semaine (incluant les compétition).

 

 

�� Assurez-vous d’augmenter le volume et/ou l’intensité d’entraînement de façon progressive (attention aux

 

 

camps/stages d’entraînement).

 

 

�� Limitez la fréquence des séances d’entraînement sollicitant de façon importante le système

 

 

anaérobie lactique (glycolyse anaérobie-aérobie).

 

 

Blessures

 

 

Contrainte

 

 

Suivi régulier de l’état psychologique

 

 

�� Effectuez un suivi régulier, idéalement quotidien, de votre sentiment de bien être et de votre

 

 

humeur.

 

 

�� Construisez votre propre questionnaire ou utilisez un questionnaire simple tel que le DALDA, le

 

 

POMS ou le REST-Q.

 

 

« L’augmentation de la sensation de bien être subjectif pendant la période d’affûtage a permis

 

 

d’expliquer l’amélioration de la performance en compétition dans 72% des cas. »

 

 

Hooper et al., 1995.

 

 

Cahier d’entraînement

 

 

�� Un cahier d’entraînement est une excellente façon de détecter le surentraînement.

 

 

�� Notez l’information technique sur vos entraînements (séries, répétitions, intensité, etc.) mais

 

 

notez également votre perception de la difficulté de l’effort, les résultats aux tests, votre

 

 

humeur, votre fréquence cardiaque de repos et d’entraînement et, si applicable, vos résultats au

 

 

questionnaire psychologique.

 

 

Nutrition

 

 

Apports en énergie et en macronutriments quotidiens recommandés chez

 

 

l’adulte soumis à un entraînement intensif

 

 

Macronutriments Homme Femme

 

 

Apport énergétique total >52 (kcal/ kg/jour) 44-52 (kcal/ kg/ jour)

 

 

Apports en glucides 8-10 g/ kg/ jour 6-8 g/ kg/ jour

 

 

Apports en protéines (viande,

 

 

poisson, fruits, légumes)

 

 

1-1,8 g/ kg/ jour 1-1,8 g/ kg/ jour

 

 

Apports en lipides (huiles,

 

 

beurre, margarine, etc.)

 

 

0,8-2,1 g/kg/ jour

 

 

(ou les Kcal restantes)

 

 

0,8-2,1 g/kg/ jour

 

 

(ou les Kcal restantes)

 

 

Adapté de: Strength and Conditioning Journal, Vol. 23,3, 42-61, 2001.

 

 

Apports en glucides et en eau recommandés lors d’efforts de longue durée

 

 

�� Apports en glucides (solides ou liquides) = 0,4g/kg/h

 

 

�� Apports en eau = 5mL/kg/h (data from Downey et Hopkins, 1999)

 

 

Prévention et gestion des problèmes de santé

 

 

�� Soyez conscient du risque d’infection accru après une compétition ou un entraînement

 

 

�� Évitez les athlètes malades

 

 

�� Ayez une excellente hygiène corporelle

 

 

�� Évitez d’utiliser les bouteilles d’eau de vos partenaires d’entraînement.

 

 

�� Soyez conscient que l’entraînement augmente la sévérité et la durée des problèmes de santé.

 

 

�� Ne pas s’entraîner si vous vous sentez très mal ou si vous avez de la fièvre.

 

 

�� Après un problème de santé, reprendre l’entraînement TRÈS PROGRESSIVEMENT.

 

 

Partager cet article
Repost0