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LES HYDROS

22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 07:46

Bonjour a tous

 

 

 

Le club "EF.S. Rhône-Alpes Triathlon" organise le 15 Avril 2007 le "TRAIL DE BEYNOST".

 

Épreuves au programmes:  * un mini Trail de 6kms

 

                                         * un Trail de 15 kms

 

                                         * une rando pédestre de 10,5 kms

 

                                         * une course de 2 kms enfants - adultes: "Les foulées Kalenji"

 Vous trouverez en pièce jointe la plaquette de l' épreuve ainsi que tous les renseignements et les dénivelés.

 

 

 

Une reconnaissance des parcours se fera le Samedi 24/02/07 a 15h00. Nous vous accueillerons avec plaisir au complexe sportif du Mas du Roux de Beynost (Ain). Un Pot sera offert après se petit entraînement commun.

 

Ambiance convivialle et sympathique assurée.

 

 

 

Bon entraînement

 

EFS. RA Triathlon

 

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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 07:39

LE 11 MARS : LE MULTR INDOOR MAN

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Toute la journée 4 possibilités d'initiation aux sports enchaînés pour tous et à partir de 8 ans
- 1/Fil rouge gratuit avec un chrono sur l'enchaînement sur des distances très courtes et sur des appareils assurant de parfaite condition de sécurité ( 100m sur simulateurs de natation ou dans l'eau, 2500m sur simulateur vélo et 500m de course à pied) . Comparaison avec le temps référence d'un champion de la discipline.
- 2/Aquathlon découverte pour tous à 13h15' avec 225m de natation - enchaîné avec 1,5 km de course à pied.
- 3/Aquathlon avenir pour les enfants à partir de 8 ans à 13h30' et 13h45'.
- 4/Participation au triathlon Multr' Indoor Man ( inscription à l'avance ) 225 m natation- 5km vélo ( avec une belle bosse ! ) - 1.5 km CP

8h30' à 11h30' Inscription, retrait des dossards et affichage liste ''départ''

9h à 13h Triathlon qualificatif ( 225m nat - 5 km vélo - 1,5 km CP )
1 dép de 6 triathlètes toutes les 15' à 20', soit pour 4h = 75 participants
Si vous êtes inscrits à l'avance , votre horaire de départ vous aura été transmis.

13h05' Aquathlon Promotion ( limité à 30 personnes ) 225 m - 1,5 km CP

13h15' Affichage des 42 qualifiés pour les finales de l'après midi.
3 premiers minimes - 3 premiers cadets;
3 premières minimes - 3 premières cadettes-
6 à 12 premières femmes
( 2 places assurées pour les 2 premières juniors et 2 premières vétérans, même si elles ne sont pas classées dans les 12 premières femmes). La 1ere de l'aquathlon et la 1ere du fil rouge ( à 13h ) peuvent aussi être qualifiées pour l'après midi si elles le souhaitent.
12 à 18 premiers hommes ( ( 2 places assurées pour les 2 premièrs juniors et 2 premièrs vétérans, même si ils ne sont pas classés dans les 12 premiers ). Le 1er de l'aquathlon et le 1er du fil rouge ( à 13h ) peuvent aussi être qualifiés pour l'après midi si ils le souhaitent.

13h15' à 14h Inscriptions aux finales du TRIATHLON 0,225 - 5 - 1,5.

 

Attention les qualifiés aux phases finales doivent se ré-inscrire, coût = 8 euros

13h15' Aquathlon Avenir 1 ( enfant 99 à 98 )

13h30’ Aquathlon Avenir 2 ( enfant de 97 à 96 )

13h45’ Aquathlon Avenir 3 ( enfant de 95 à 94 )

14h15' 1ere 1/2 finale femmes = 6 triathlètes ( 3 premières qualifiés)
14h35' 2e 1/2 de final femmes = 6 triathletes

15h 1ere 1/2 final hommes ( 2 premiers qualifiés)
15h20' 2e 1/2 final hommes
15h40' 3e 1/2 final hommes

16h10' Finale Minimes - cadets ( 3 et 3 )
16h30' Finale filles Minimes - Cadets

17h Finale femmes
17h30' Finale Hommes

17h45' Remise des prix et Tombola !
18h15' Fin

 

Inscription Multr’Indoor Man

 

limité à 75  participants ( triathlon),  30 participants pour chaque aquathlon et 50 pour l’initiation ( fil rouge )
Inscription sur place possible dans la limite des places disponibles ( fortement déconseillé ! )

 

 

NOM (surname) :_ _ _ _ _ _ _ _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ _Prénom (first name) : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 


Date de naissance (date of birth) :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Sexe (sex) :       M          F

 

Adresse (adress) :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 

Code postal (Zip code) :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Ville (city)  _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 

 

Pays (country) :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _  Nationalité (nationality) : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 

 

Téléphone (phone):_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Mail :  _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _  _ _ _ _ _ _

 

 

Licencié  FFTri        Oui                   Non  (certificat médical de – de 3 mois  obligatoire)

Si OUI, N° licence (licence) :_ _ _ _ _ _ _ _ _  _ _ _ _ _ _ Club (club) : _ _ _ _  _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Je participe au triathlon MulTr’Indoor Man  limité à 75 participants ( entourez la formule choisie)
Merci de préciser un horaire souhaitez (entre 9h et 13h ): ……………… Si inscription avant le 2/03, vous serez informez de votre horaire de départ pour les qualifications ( Horaires affichés aussi sur
www.multriman.com )

Licencié ( à partir de minimes )                Avant 2/03/07(*) 10 Euros.                 Après le 2/03/07 15€.
Non licencié
( à partir de cadet )
             Avant 2/03/07(*) 12 Euros.                 Après le 2/03/07 15€.
Pour les 42 qualifiés aux phases finales nouvelle inscription nécessaire à

 



Je participe à l’aquathlon découverte ( à partir de minime , né en 1993 ) Distances 225 m nat – 1.5km CP

 

LicenciéFFTri                                   Avant 2/03/07(*) 7 Euros.                   Après le 2/03/07 10€.
Non licencié
( à partir de cadet )             Avant 2/03/07(*) 7 Euros.                   Après le 2/03/07 10€.

 

(*)Cachet de la poste faisant foi.

Je participe à l’aquathlon enfant  1 ( né en 1999, 98,  97 et 96 ) 50m en natation et 400m en CP.      2 Euros

 

 

Je participe à l’aquathlon enfant  2 ( né en  97 et 96)  Distance 100m en natation et 600m en CP.     2 Euros

Je participe à l’aquathlon enfant  3 ( né en  95 et 94)  Distance 150m en natation et 1000m en CP.   2 Euros



Je participe au fil rouge
( de 8 à 88 ans ou +.. ) = enchaînement 100m nat ( ou simulateur natation ) – 2,5km vélo – 0.5 km de CP. Merci de préciser un horaire souhaitez (entre 9h et 16h ): ……………..            3 euros 



 

Ci-joint un chèque de:_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ à l'ordre d'Iron Loire Organisation

 

 

 

Je déclare avoir pris connaissance du règlement des épreuves du Mini MulTriMan Stéphanois (Règlement de la FFTri ) et je m'engage à le respecter.

 

 


Lieu et date (date and place) :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 

Signature de l'athlète (parents, si mineur )(signature) :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 

 

 

Bulletin d’inscription à envoyer avec la photocopie de la licence ou le certificat médical à  :

 

 Iron Loire Organisation -  23 bis chemin de La Chabure – 42 400 Saint Chamond

 

 

 

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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 07:33

pompé sur xtriathlon

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Avec l’aimable concours de Cyril Tabarin (Romans Triathlon)
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La connaissance des règles d'arbitrage est primordiale pour que chacun puisse trouver le plaisir de courir en toutes circonstances. Le respect de celles-ci se doit d'être appliqué par tous… aussi lisez attentivement ce qui suit, et essayez de répondre correctement à toutes les questions

La méconnaissance de la réglementation par les triathlètes est un point fréquemment soulevé par les arbitres. Les « confirmés» il faut bien le reconnaître, sont souvent peu attentifs dans les briefings d’avant course, pourtant utiles quand il s’agît de savoir les dispositions particulières prises par l’organisateur et les arbitres (où sera disposé la boucle de pénalité ? par exemple), ou d’autres informations bien utiles.
Et même si les arbitres de nos clubs s’efforcent chaque année de nous transmettre les nouveautés du règlement, nous sommes parfois bien surpris quand nous découvrons « de plus près » leurs applications. Quant aux « néophytes » ils peuvent avoir besoin de temps pour saisir toutes les subtilités d’une discipline et de l’application de ses règles selon les contextes de course.
Essayez donc de répondre aux dix questions de ce petit quizz proposé en formation d’arbitre cette année. Nous vous communiquerons très bientôt les réponses et les précisions utiles à certaines réponses qui pourraient vous paraître étranges, ainsi qu’une synthèse des principales modifications de la réglementation 2007.

test

1) Pour faciliter la transition (sur une course par équipes), les concurrents d'une même équipe s'entre aident pour enlever leur combinaison. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) stop&go avec carton jaune
c) pénalité (carton noir)
D) disqualification (carton rouge) de l'équipe

2) Lors de la transition natation/vélo (toujours sur une course par équipes), un concurrent quitte l'emplacement de l'aire de transition en emportant son vélo et celui d'un de ses coéquipiers. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) autorisation donnée à condition que toutes les autres équipes aient la même possibilité
c) pénalité(carton noir)
d) disqualification(carton rouge)

3) Pendant l'épreuve de cyclisme d'un triathlon sprint classique, un concurrent roule à environ 8 m derrière un autre. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) stop&go avec carton jaune
d) pénalité avec carton noir
c) disqualification avec carton rouge
d) pénalité de 2 minutes

4) Toujours sur un triathlon sprint avec drafting interdit, un concurrent en double un autre, celui-ci se laisse distancer de 3 ou 4 mètres puis reprend son effort pour revenir a sa hauteur. Que prévoit la réglementation pour celui qui revient?

a) aucune sanction
b) avertissement (carton jaune)
c) stop&go (carton jaune)
d) pénalité (carton noir)
e) disqualification (carton rouge)
f) pénalité de 2 minutes

5) Le règlement de l'épreuve prévoit (dans l'aire de transition) un accrochage des vélos par la selle, avant le départ un concurrent dispose son vélo autrement. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) autorisation a condition que l'autorisation soit valable pour tous
c) carton jaune avec remise en conformité
d) pénalité (carton noir)
e) disqualification (carton rouge)

6) A la transition vélo/course à pied, un concurrent se dirige vers la sortie de l'aire de transition, situé à 50 m, torse nu, son tee-shirt à la main. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) stop&go carton jaune avec obligation de remettre son tee-shirt
d) pénalité (carton noir)
e) disqualification (carton rouge)

7) Un concurrent passe la ligne d'arrivée sans son dossard. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) avertissement (carton jaune)
c) stop&go avec demande de remise en conformité
d) pénalité (carton noir)
e) disqualification (carton rouge)
f) il ne sera pas classé

8) A l'arrivée de la natation un concurrent sort de l'eau menaçant, insultant puis bousculant un autre concurrent. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) avertissement (carton jaune)
c) stop&go avec carton jaune et demande de cesser immédiatement son comportement
d) pénalité (carton noir)
e) disqualification (carton rouge)
f) disqualification (carton rouge) aux deux concurrents
g) suspension d'épreuve pour 1 mois

9) Après avoir pris le départ de la natation, un concurrent revient sur la plage et reprend le départ après avoir repris son souffle. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) avertissement (carton jaune)
c) stop&go avec carton jaune
d) pénalité (carton noir)
e) disqualification (carton rouge)

10) Apparemment malmené par les concurrents autour de lui, un nageur essaye de retrouver son souffle en s'accrochant à la bouée. Que prévoit la réglementation ?

a) aucune sanction
b) avertissement (carton jaune)
c) stop&go avec carton jaune
d) disqualification (carton rouge)

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REPONSE DEMAIN

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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 07:16

pompé du site volodalen

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 1950-1970 : une mode du lent venue d'Allemagne

Dans les années 50, alors que le combat science - nature battait son plein, un docteur allemand nommé Van Aaken vint compliquer la donne. En temps que médecin, Van Aaken se réclamait de la science. Or l'approche qu'il préconisait allait complètement à l'encontre de celle proposée par le courant, allemand également, de l'interval training. Selon lui, les données montraient que contrairement à ce qu'affirmait Reindell, c'est l'exercice physique modéré qui permettait d'améliorer le plus la fonction cardiaque. Pour Van Aaken , il fallait courir lentement c'est à dire à une fréquence cardiaque inférieure à 140 puls/min pour être performant. Selon lui, l'exercice lent et continu aurait une action plus lente certes mais finalement plus importante que l'intervalle sur une donnée essentielle de la performance : le volume d'éjection systolique du cœur. Ayant une cavité plus grande, le cœur enverrait plus de sang à chaque pulsation ; il serait plus performant.
Mais les avantages mis en avant par les défenseurs de ce type d'entraînement (parmi lesquels se trouvait le courant "Spriridon" relayé par l'école fédérale de gymnastique et de sport de Macolin en Suisse) vont bien au-delà de la seule fonction cardiaque. Selon eux, "l'endurance fondamentale" conduirait à :
- améliorer le rendement en course
- accroître l'activité des "ferments d'oxydation biologique"
- enrichir les cellules musculaires en potassium ce qui favoriserait leur potentiel énergétique
- multiplier la quantité d'hémoglobine et de myoglobine
- augmenter la capillarisation des fibres musculaires (irrigation sanguine accrue)…

A l'inverse les intervalles provoqueraient :
- une contraction générale des muscles qui limite l'irrigation sanguine pendant l'effort. Cette baisse de capacité de transport du sang jusqu'aux cellules musculaires serait encore accentuée par un épaississement des fibres musculaires
- une activation de la formation d'acide lactique
- une fatigue des cellules musculaires par fuite du potassium
- un épuisement de l'organisme du fait d'une augmentation exponentielle de la consommation d'énergie…
- En outre, après une progression rapide, les coureurs s'adonnant aux intervalles présentaient de grandes fluctuations de leur état de forme, les états d'euphorie sportive succédant aux contre-performances et aux fatigues répétées.

Certains arguments avancés auraient certainement pu avoir un impact important s'ils avaient pu être soumis à un débat constructif. Malheureusement, le temps était à la guerre des idéologies. Pour preuve cet "argument-massue" adapté d'un article publié par un adepte de l'entraînement en endurance. "L'expérience l'a prouvé, l'entraînement par intervalles sculpte son modèle sur le sable alors que l'entraînement à l'effort lent et prolongé bâtit sur un socle dur, solide et pratiquement inusable." Belle propagande, ne trouvez-vous pas ?

Dans la pratique, les athlètes devaient vérifier leurs pulsations afin de s'assurer de ne pas dépasser la dose prescrite et de ne jamais se retrouver en dette d'oxygène.
Etant donné qu'un organisme ne se réduit pas à un cœur qui bat lentement, les pays, comme la France, dont une partie des entraîneurs a suivi le mouvement du lent, ont sacrifié une génération de coureurs sur "l'autel du 140".

Pour être plus complet sur les conditions de la pratique de l'endurance fondamentale, donnons quelques préceptes formulés par le docteur Van Aaken :
- "cours chaque jour, mais cours lentement"
- "cours beaucoup […] c'est le nombre de kilomètres qui est déterminant et non l'intensité"
- "cours à une allure qui ne soit jamais supérieure à celle de la compétition ou diminue l'intensité quand la fréquence du pouls dépasse 150."
- "Après une longue période de fond, cours également sur des 30 ou 40m mais avec de longues pauses de repos."
- "que ton entraînement se fasse comme un jeu, comme le font les enfants ou comme un sauvage qui court en pleine nature".
- "maintiens ton poids de corps de 6 à 8 kg en dessous de la normale"
- "ne t'arrête pas complètement si tu souffres de petites déchirures musculaires ou des ligaments, guéris les plutôt par des exercices fonctionnels de longue durée, mais modérés".
- "pratique pendant toute ton existence le travail de fond en tant que procédé permettant d'accéder à l'endurance biologique".

Finalement, l'opposition lent-intervalles ne semble qu'une redite de la rupture déjà abordée entre fartleck et intervalles.
Dans cette guerre des chefs, où chacun devait choisir son camp, certains entraîneurs ne rejetèrent ni un procédé ni l'autre. Ceux là surent tirer parti des avantages des différents types de travail. Parmi eux, se trouvait un entraîneur hongrois nommé Igloi.

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a suivre ...

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 10:18

SUITE ..

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 07:20

toujours pompé du site volodalen

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 L'après guerre : entre nature et sciences

Dans les années d'après guerre, l'émergence et la diffusion de l'intervall traning dans un contexte dominé par le fartleck suédois provoqua une querelle mondiale entre les "pro-natures" et les "pro-sciences". Si les pays de l'est de l'Europe adoptèrent sans retenues le procédé de Reindell et Gerschler, des pays comme la France restèrent fidèles au "naturalisme" venu de Suède. A cette époque, les reproches faits à l'entraînement par intervalles tournaient autour des thèmes suivants :
- la rudesse des efforts épuise les coureurs,
- la monotonie des entraînements ne favorise pas la motivation,
- la rigidité et le caractère restrictif du cadre - fixé uniquement sur la base de la physiologie cardiaque - vont à l'encontre de la prise en compte de la globalité de l'athlète, de ses capacités de compensation et d'adaptation. En outre, un entraînement basé exclusivement sur les intervalles produirait des athlètes présentant de grandes fluctuations de leur état de forme et une incapacité à changer d'allure en course.

De leur côté, les adeptes de l'interval training reprochaient les faits suivants au procédé suédois :
- il amène le coureur à ne faire que ce qu'il aime. En conséquence, il ne l'incite pas à se dépasser.
- il n'apprend pas la régularité d'allure
- il ne permet pas le contrôle de l'entraînement.

A cette querelle d'experts vint s'ajouter un procédé d'entraînement qui, sans être nouveau, a été remis à la mode dès les années 50 et s'est propagé dans certains pays dans le courant des années 60-70.

a suivre ...

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 07:14

article du Dr frédéric MATON du site http://www.irbms.com

.

suite ....

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QUELLE EST VOTRE CORPULENCE ?

Le calcul de l’Indice de Masse Corporelle, aussi appelé indice de corpulence, permet d’évaluer si le poids est adapté à la taille, et permet d’apprécier l’évolution de ces deux paramètres l’un par rapport à l’autre.
Cet indice, même s’il n’est pas spécifique à la population sportive, reste un des éléments de surveillance du poids, en particulier lors des régimes de perte pondérale dans les sports à catégorie de poids.

L’indice de masse corporelle se définit selon la formule suivante :

BMI = Poids (Kg) / Taille2(m)

L’interprétation de ce rapport est un indicateur du niveau de corpulence de l’individu :

BMI < 18 : corpulence maigre
BMI = 18 à 25 : corpulence normale
BMI = 25 à 30 : Surpoids
BMI = 30 à 35 : Obésité de grade 1
BMI = 35 à 40 : Obésité de grade 2
BMI > 40 : Obésité de grade 3

La formule de Creff propose un autre mode de calcul pour apprécier si le poids est adapté à la taille, en définissant un niveau de corpulence par rapport à l’âge :

Corpulence « normale » = [Taille en cm – 100 + (âge/10)] x 0,9
Corpulence « gracile » = [Taille en cm – 100 + (âge/10)] x 0,9 x 0,9
Corpulence « large » = [Taille en cm – 100 + (âge/10)] x 0,9 x 1,1
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CALCULEZ VOTRE POIDS IDEAL

La détermination d’un poids idéal doit prendre en considération la taille du sujet, son âge. La formule de Lorrentz est encore actuellement largement utilisée pour calculer ce poids de référence.

Chez le sportif, on utilise plus souvent le terme de « poids de forme », correspondant au poids pour lequel, le niveau de performances est censé être le meilleur. Ce poids répond plus à une perception du sportif lui-même vis-à-vis de son expérience, plutôt qu’à un calcul strict.


La Formule de Lorentz :
Hommes : [Taille en cm – 100] – [(Taille en cm – 150) /4]
Femmes : [Taille en cm – 100] – [(Taille en cm – 150) /2,5]

La Formule de Monnerot-Dumaine est un autre mode de calcul, et prend en compte la circonférence du poignet :
[Taille en cm – 100 + (circonférence poignet en cm)] /2

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 07:31

la suite ...

 

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 07:29

toujours du site volodalen

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1950 : l'entraînement par intervalles de Zatopek
Zatopek est celui qui a poussé à l'extrême les principes de l'entraînement par intervalles (pour retrouver la vie d'Emil Zatopek cliquez
ici). L'homme n'était pas sujet à se laisser influencer par le travail à la sensation. La raison et une idée force dirigeaient sa pratique.
La raison, Emil la voyait du côté de la science allemande déposée dans le procédé de l'interval training. L'idée était que le corps s'endurcissait par un travail toujours plus important. Ces deux notions ont conduit cet athlète à accomplir des entraînements d'une difficulté extrême.
Respectant le principe de l'interval training, Zatopek divisait la distance de compétitions en distances courtes (200, 400m). Selon lui, un coureur peut préparer un 5000m en faisant des 100m à l'entraînement, il suffit pour cela qu'il en fasse 50 de suite !
L'année qui suivie la guerre, Zatopek faisait déjà 20 x 400 dans une séance. 5 ans plus tard, un entraînement pouvait comporter 40 x 400m effectués en 1'10"-1'15". En 1953, il poussa la quantité d'exercices jusqu'à effectuer 100 x 400m entre 1'10" et 1'20" dans la même journée.
Si le procédé l'amena à réaliser de grandes performances sur les distances égales ou supérieures à 10 km, selon lui, il l'empêcha d'être rapide sur des distances plus courtes. Comparant son entraînement à celui du russe Vladimir Kuts, il remarqua que tous deux partaient d'une base commune (20x400m). Cependant, alors que lui ne fit qu'augmenter la quantité sans varier l'intensité, Kuts ne toucha pas au volume mais couru chaque répétition de plus en plus vite. Cette évolution de l'entraînement expliquerait pourquoi ce dernier domina les distances courtes (5000m) alors que Zatopek excella sur le long.
Dans les deux cas, l'entraînement était particulièrement poussé. Gordon Pirie qui s'est inspiré du procédé de Gerschler, de la sévérité de l'entraînement de Zatopek et de l'augmentation d'intensité utilisée par Kuts, déclara avoir utilisé la méthode des intervalles matin et soir. Ajoutés à un footing d'échauffement de 30' et un parcours de récupération de 15', ces entraînements l'amenèrent à accomplir des distances hebdomadaires pouvant dépasser les 300 km.
Une telle dose de travail était alors considérée comme inhumaine par la plupart des athlètes de "l'ouest". Même si elles sont partiellement fondées, nous verrons que ces critiques s'expliquent en partie par un contexte bien particulier. Mais auparavant, arrêtons un instant le cours de l'histoire et revenons sur les procédés d'entraînement vus jusqu'à présent (1ère moitié du 20ème siècle).


Un récapitulatif
La liste des procédés d'entraînement déjà rencontrés s'établie comme suit :
- le "spécifique" : course à l'allure de compétition sur des distances proches de l'épreuve et utilisation des compétitions pour progresser
- la course longue et lente
- la vitesse : course sur des distances courtes (100 m)
- le renforcement musculaire
- le fartleck : course en nature "à la sensation"
- l'interval training en quantité (Zatopek) : nombreuses répétitions de courses comprises entre 200 et 400m, entrecoupées d'intervalles de récupérations incomplètes.
- l'interval training en qualité (Harbig) : le nombre des répétitions est beaucoup moins important, la vitesse plus grande. Les récupérations restent incomplètes.

Cette liste apporte un panel assez complet des différents moyens de travail possibles en course à pied. La première moitié du siècle a donné les principaux procédés d'entraînement. Dans les décennies qui suivent, l'originalité provient davantage de l'agencement de ces différents procédés au sein de méthodes complètes d'entraînement.

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 07:28

Article du Dr Frédéric MATON  du site http://www.irbms.com/

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QUE SIGNIFIE : POIDS DE FORME ?

La notion de poids de forme est souvent utilisée dans les disciplines d’endurance comme dans les sports à catégorie de poids. Cette notion est souvent utilisée à tord, sans pour autant expliquer au sportif comment la calculer, et comment l’utiliser.

Le poids de forme est souvent considéré comme étant le poids pour lequel le sportif sera le plus performant, capable d’effectuer une performance souhaitée.
Voila qui est bien restrictif, car en dehors de cette notion de performance, le poids de forme correspond avant tout à un état pour lequel le sportif se sent le mieux. C’est avant tout une « sensation », un bien être, un mode d’hygiène de vie qui lui permettra secondairement de s’épanouir en compétition, et d’être alors dans les meilleures conditions de performance. Il ne faut donc pas uniquement prendre des facteurs de performance pour le déterminer.
On peut donc le définir comme étant le poids corporel le plus adapté au sportif.

Le poids de forme sera donc déterminé en fonction des sensations perçues en compétition, mais également de la facilité à maintenir un poids donné, sans frustration alimentaire ni privation,

Contrairement à ce qui est répandu dans le milieu sportif, le niveau de performance n’est pas directement lié à la perte de poids.
Il est vrai que le(les) kilo(s) excédentaire(s) représente(nt) une charge supplémentaire, d’où l’intérêt de le(s) perdre à l’abord des compétitions.
Mais il faut abattre le mythe d’un poids de forme le plus bas possible ! Perdre trop de poids, et donc trop de graisse est préjudiciable car n’oublions pas que le tissu graisseux, aussi faible qu’il soit, constitue une réserve énergétique, et contribue à réguler le métabolisme des acides gras. Il est également un tissus endocrine dont les secrétions hormonales sont indispensables. D’où les conséquences possibles d’un organisme trop « affûté», perturbant l’équilibre énergétique et hormonal. Il est ainsi fréquent de retrouver des problèmes de récupération, des répercutions sur l’humeur et l’irritabilité, des perturbation des hormones sexuelles (aménorrhées de la sportive)...

Le principal danger est de déterminer un poids de forme trop bas, justifiant de perdre quelques kilos … un peu trop ! Une telle attitude conduit à un régime trop sévère, des privations alimentaires, des interdits, obligatoirement mal tolérés. Ces troubles du comportement alimentaire sont non seulement néfastes aux performances, mais sont surtout préjudiciables au vécu psychologique de la saison sportive.
S’il est conseillé de maintenir un poids de forme, cela ne doit pas devenir une priorité incontournable, et conduire à une préoccupation excessive vis-à-vis de la régulation pondérale, ou le sportif craint plus sa propre balance que les adversaires.

Il existe bien quelques formules, prenant comme référence des pesées successives, avant et après compétition… voila qui est bien compliqué ! C’est également une méthode trop stricte, qui ne prend pas en considération l’appréciation et la tolérance du sportif vis-à-vis de son poids.
Le poids de forme n’est pas le poids le plus bas observé lors d’une compétition. Car dans cette situation, la perte pondérale est surestimée par la déshydratation, et ne doit pas être reproduite ni recherchée.

Finalement le poids de forme ne répond à aucun critère objectif précis. C’est une notion qui reste très subjective, spécifique à chaque athlète, en fonction de son niveau d’activité, de ses appétences alimentaires, de sa motivation et tolérance au régime suivi …
Il correspond à un équilibre entre d’une part le maintien d’un poids stable et adapté à la discipline pratiquée, et d’autre part garder un plaisir de la table, manger à sa faim, sans compulsion alimentaire ni privation.
L’essentiel n’est pas de répondre à un poids donné, mais de bien le vivre!
Toutefois, si vous voulez connaître la normalité IMC (Indice de Masse Corporelle), l’IRBMS peut vous aider …

demain :  les formules et les calculs

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