Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LE FORUM

Rechercher

LES HYDROS

30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 07:41

Article outrageusement pompé sur http://www.conseils-courseapied.com/

article complet : http://www.conseils-courseapied.com/la-recuperation-course-a-pied.html

Introduction

 

Bien souvent, le coureur à pied peut être considérer comme une personne masochiste.

Il est persuadé que pour progresser, il suffit d’enchaîner les séances difficiles, de s’imposer des charges de travail importantes (souvent non adaptées à son niveau), d’essayer de vaincre ou de surpasser son état de fatigue générale,…

Tout ça dans l’espoir de pouvoir rendre son corps plus ’’fort’’

Or pour progresser, la démarche doit être à l’opposé de ce type de raisonnement.

Le coureur doit pratiquer dans un état de relative fraîcheur physique.

Pour qu’une séance soit bénéfique, le coureur ne doit pas la finir épuisé.

Il est normal de ressentir de la fatigue après certaines séances. Mais cette fatigue doit avoir disparue après une bonne nuit de sommeil ou une journée de repos. En cas contraire, cela signifie que le coureur a été au delà de ses capacités du moment.

La vie quotidienne peut aussi engendrée une fatigue générale passagère (travail, problèmes personnels, maladies bénignes : rhume, état grippal,…)

Dans ce cas, le coureur doit ‘’lever le pied’’ (en ne faisant que des footings lents) ou s’arrêter totalement pendant quelques jours.

Il est recommandé d’attendre que l’état de fatigue générale disparaisse, ou que les sensations reviennent lors des séances faciles avant de reprendre ou de poursuivre son plan d’entraînement.

En cas d’un arrêt total, le coureur doit respecter les règles pour une reprise en douceur. Voir chapitre endurance.

La programmation la plus minutieuse, la plus adaptée, la plus réfléchie possible ne peut être efficace que si le coureur tient compte des messages d’alerte envoyés par son corps.

En dehors des aléas de la vie quotidienne, une bonne partie de cette fatigue engendrée par les entraînements peut être évité en appliquant une règle d’or :

La récupération doit être placée au même niveau que les efforts.

La récupération fait partie intégrante de l’entraînement. Elle est un élément incontournable.

Elle doit être prévue, planifiée dans toutes les phases et les étapes de la programmation (de la programmation annuelle jusqu’au contenu de la séance).

Le coureur doit impérativement respecter ces phases de récupération. Dans le cas contraire sa progression est moindre, voir nulle. Pire encore il peut régresser ou se blesser.

La récupération permet au coureur de progresser. Ce moment privilégié pour l’organisme, lui permet d’assimiler le travail effectué au fil des séances et des semaines.

Le coureur ne doit plus considérer la récupération comme une perte de temps, mais au contraire comme une bonne nouvelle : pour progresser il doit aussi se reposer et récupérer.

Pour que les phases de récupération soient pleinement bénéfiques, elles doivent être agencées selon certains principes simples.

Ces principes sont abordés dans les chapitres suivants :

http://www.conseils-courseapied.com/la-recuperation-course-a-pied.html

 

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2007 4 25 /01 /janvier /2007 08:09

article pompé sur VOLODALEN

 

LES PATES C'EST BIEN !

Nous connaissons tous les appellations sucres rapides et sucres lents. Derrière ces vocables se cache la notion d'index glycémique. L'index glycémique est un indicateur de la vitesse à laquelle les sucres pénètrent dans le sang.

Certains aliments – comme la baguette de pain blanc – sont rapidement assimilés alors que d'autres – comme le soja ou les pâtes –, demandent plus de temps.
Dans le monde, plusieurs laboratoires étudient les relations entre cet index glycémique et les performances en endurance. Les conclusions des études menées sur ce thème au sein du laboratoire de l'université de Loughborough (Royaume-Uni) sont les suivantes :
- Manger des aliments à faible (féculents…) plutôt qu'à fort (sucres rapides) index glycémique trois heures avant un exercice, favorise l'utilisation des graisses pendant l'effort. Un tel repas à base de sucres lents permet de maintenir un taux sanguin de glucose plus élevé ce qui pourrait favoriser la performance de durée.
- L'utilisation des graisses est maximale lorsque l'effort est réalisé à jeun.
- Dans le cadre d'une succession d'efforts (entraînement quotidien…), des repas à faible index glycémique favorisent les performances.
En simplifiant à l'extrême, l'équipe anglaise nous montre que pour le spécialiste d'endurance, manger des pâtes (ou plus généralement des aliments à faible index glycémique), c'est bien !

Référence indicative : Improved recovery from prolonged exercise following the consumption of low glycemic index carbohydrate meals. Stevenson E, Williams C, McComb G, Oram C. Int J Sport Nutr Exerc Metab. 2005;15(4):333-49.


 

 

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 07:46

vu sur le site volodalen

MP3 I

DepuiS l'arrivée des minuscules lecteurs MP3, nous sommes nombreux à courir en musique. Cette habitude modifie-t-elle nos réactions en course ?
Des chercheurs ont demandé à des sportifs de choisir une musique motivante et une musique neutre puis de réaliser une performance sur 400 m avec chaque type de musique et enfin sans musique. Les "sportifs en musique" ont amélioré leurs chronos ceci quelle que soit la musique. L'amélioration des performances avec musique avait déjà été observée dans des efforts d'endurance. Elle est confirmée pour des efforts anaérobies.

Référence : The effects of synchronous music on 400-m sprint performance. Simpson SD, Karageorghis CI. J Sports Sci. 2006;24(10):1095-102.

MP3 II

L'étude qui précède laisse penser que si la musique aide à améliorer les performances, le type de musique (motivante, neutre…) n'a pas d'effets sur notre course. Et pourtant…
Lorsque nous écoutons une musique au rythme rapide en "montant le son", nous avons tendance à accélérer notre course. A l'inverse, nous préférons une musique au rythme plus lent (mais pas trop) pour un footing tranquille. Tout se passe comme si nous synchronisions nos rythmes internes au tempo de la musique. Ce synchronisme a cependant des limites. Plus la difficulté de l'effort s'accroit, plus nous avons tendance à fixer notre attention sur notre ressenti. Si les distractions musicales peuvent influencer notre course et les réactions de notre corps, face à la difficulté, elles perdent de leur importance.

Référence indicative : The effects of music tempo and loudness level on treadmill exercise. Edworthy J, Waring H. Ergonomics. 2006 15;49(15):1597-610.

MP3 III

De nombreux coureurs refusent de courir en musique. Ils déclarent qu'avec "cet engin dans les oreilles", ils n'arrivent pas à moduler leur effort, à ressentir les signaux (plaisir, douleur, appuis…) en provenance de leur corps.
A notre connaissance, aucune étude scientifique n'a tenté de relier ce ressenti avec des données objectives (nombre de blessures, périodes de fatigue, amélioration après plusieurs semaines d'entraînement…). Les connaissances manquent ; reste le ressenti.

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2007 4 18 /01 /janvier /2007 09:08

lu sur onlinetri, article de rodolphe debureau

Les erreurs les plus fréquemment commises par les triathlètes

La nouvelle année qui commence est peut être le bon moment pour prendre de bonnes résolutions et ainsi essayer de les éviter.

1) le respect des allures
Vouloir s'entraîner trop vite quand il faudrait y aller doucement sous prétexte que l'on est bien, et qu'aller trop doucement, c'est ''chiant'', puis se plaindre après qu'on est crevé pour aller plus vite lors les séances de qualité.
S'entraîner doucement engendre des adaptations importantes (capillarisation, lipolyse,...), permet de travailler sa technique, de réaliser des sorties longues, et permet surtout de récupérer en vu des séances plus qualitatives.

2) ne pas raisonner comme un triathlète
Ne pas développer les allures prioritaires qui seront utiles en compétition, ne jamais enchaîner, remettre le guidon aéro quinze jours avant les premières compétitions et se plaindre ensuite de mal de dos, ne jamais nager en milieu ouvert, nager 5x par semaine et rouler seulement une fois, se demander pendant 1 heure s’il vaut mieux aller rouler ou aller courir, faire ses séries de 200m en cap en moins de 33'' pour courir après péniblement à 15km/h,...

3) ne pas chercher à réellement améliorer ses points faibles
S’améliorer dans la discipline où l'on est le plus faible nécessite un surcroît de travail, de rigueur et de motivation, et nécessite une redistribution de la charge de travail.

4) toujours quantifier l'entraînement en volume horaire
D’autre moyen de quantification de charge existe, et raisonner uniquement en volume a un coté pervers à vouloir en faire toujours plus.

5) croire qu'acheter une paire de roues à 6000 F va permettre de gagner 3' sur 40km en roulant à 35km/h.

6) ne pas accorder assez d'importance aux ''à coté''
Alimentation, compléments alimentaires, soins annexes (kiné, ostéopathe), avoir du matériel adapté (changer très régulièrement ses chaussures de cap, être posé efficacement sur son vélo),...

7) croire que tel type de matériel est super parce tel triathlète pro l'utilise.

8) faire des paris stupides ou des pronostics de temps après avoir bu sa douzième bière !

9) penser que payer 300 euros pour faire un Ironman est une bonne affaire...

Bonne année à tous
RD

ps de moi : on est pas obligé d'être d'accord et vous pouvez commenter !

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2007 1 15 /01 /janvier /2007 08:58

lu sur le site http://www.irbms.com/

allez y faire un tour beaucoup de choses à lire et le dr MATON est un triathlète

asthme provoquée par l’effort :

Il s’agit d’un asthme déclenché par une activité physique ou sportive, ou par un effort inhabituel lors de la vie au quotidien.

Il est toujours difficile de faire la part des choses entre un asthme d’effort et une insuffisance cardiaque à l’effort. Seul un médecin pourra vous orienter vers les examens nécessaires pour préciser le diagnostic de vos symptômes.

L’asthme d’effort est favorisé par :
· le froid sec
· la pollution atmosphérique
· les gaz d’échappement
· les allergènes (méfiez vous de l’environnement : fleurs, gazon, arbres…)
· le vent violent
· les fortes périodes de chaleur
· le stress, la fatigue, la méforme

Reconnaître un asthme à l’effort n’est jamais évident. Votre médecin peut vous orienter vers le diagnostic. Toutefois, une simple toux à l’effort peut être un équivalent asthmatique. Prévenez alors votre médecin.

On pourra éventuellement vous conseiller la pratique d’une activité physique et sportive pendant une période dite « réfractaire », qui sera créée par la prise de médicaments spécifiques avant l’exercice.

Retenez que beaucoup de personnes souffrent d’asthme. Certains l’ignorent encore. Le pourcentage d’asthmatiques dépistés en France est en constante augmentation.

L’asthme est une maladie chronique de l’appareil respiratoire qui se caractérise par des épisodes d’obstruction des bronches. Sa gravité peut être légère, modérée et sévère. Dans la plupart des cas, il est possible de mener une vie normale, le sport n’étant pas un facteur aggravant de la maladie asthmatique.

En conclusion, votre médecin pourra vous orienter sur la bonne pratique sportive. Vous pourrez vous auto-contrôler en vérifiant votre débitmètre de pointe, mais surtout retenez que le tabac est votre principal ennemi. Fumer tue, mais tout tabagisme passif peut provoquer une crise d’asthme.

article complet : http://www.irbms.com/Asthme.htm

Partager cet article
Repost0
12 janvier 2007 5 12 /01 /janvier /2007 08:44

Je me sens nerveux
J'ai des difficultés à dormir
J'ai le coeur qui bat plus vite
Je crains de faire une mauvaise performance
J'ai des maux de ventre ou de tête
J'ai la bouche pateuse et les mains moites
Mon corps et mes muscles sont tendus
Je suis irritable
J'ai peur de ne pas atteindre mon objectif

Comptez 0 points si vous avez répondu jamais, 1 point pour parfois et 2 pour toujours. Faites l'addition de vos réponses aux neufs questions posées.

Entre 0 et 7 : vous êtes copain avec doc gynéco
Entre 8 et 11 : attention, le stress peut diminuer vos performances
Plus de 12 : Vous êtes trop stressé et vos performances s'en ressentent

(http://www.irbms.com)

 

Partager cet article
Repost0
5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 09:35

.

Un dessin vaut mieux qu'un long discour :

.

 

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 09:05

.

source xtriathlon.com

.

la planification : la première phase de l'année

.

La planification est un peu le symbole d'une reprise douce de l'activité de tout triathlète. Parce que tout sportif a besoin de se fixer des objectifs, cette phase est importante à plus d'un titre. Voyons donc en détails comment l'aborder

En cette période de reprise d’activité, je vous propose un petit rappel sur la planification de l’entraînement. Je vais vous redonner dans un premier temps la logique de construction d’une saison, et ensuite je vous indiquerai la marche à suivre pour planifier votre saison tant à l’entraînement qu’au niveau des compétitions. J’espère ainsi vous aider à construire votre plan d’entraînement et ainsi atteindre pleinement votre (ou vos) objectif (s).

Les différentes périodes :

Pour reprendre la logique de la physiologie, les périodes traversées tout au long d’une saison seront au nombre de 5 :

  1. La période foncière : cette période correspond, comme son nom l’indique, à la durée de la construction de votre base physique. C’est durant ces 3 à 5 mois que l’on met en place un physique qui nous permettra de supporter les charges de travail importantes qui suivront, et ce en se protégeant de toutes formes de blessures. Les efforts seront de nature aérobie, en majorité, dans les trois disciplines et les aspects importants primordiaux seront la technique et l’endurance (en natation et course à pied, principalement).
    Pour celles et ceux qui pratiquent la PPG, les efforts seront principalement de nature concentrique. Certaines périodes pourront être consacrées à l’excentrique, puis isométriques, et enfin à l’endurance de force, pour les plus expérimentés. On essaiera également de mettre en place un système de « transfert » le plus souvent possible (par exemple, une série de pompes sera suivie de 50m NL rapide puis 50 NL en récup).
  2. L'intensité : Durant ces 2 à 4 mois (selon vos objectifs, leur durée et votre niveau d’expertise), vous augmenterez majoritairement la part des efforts anaérobies. Les efforts deviendront de plus en plus intenses, de plus en plus longs, et une attention particulière devra être apportée à la récupération et aux étirements : sans cela, les risques de surentraînement et de blessures pourront devenir importants.
    Au niveau de la PPG, les efforts seront alors de nature excentrique/concentrique.
  3. L'affûtage : Une période à part entière, où l’on concrétise l’optimisation de toutes les qualités développées lors des périodes précédentes. D’une durée relativement courte (de 2 à 4 semaines, selon la nature des objectifs), elle est la plus complexe à mettre en place et plus la relation « entraîneur/entraîné » sera pleine et détaillée, plus l’affûtage sera efficace (car il est alors beaucoup question de sensation et de feed-back).
    Au niveau de la PPG (qui devient alors PPS), les efforts seront de type « stato-dynamique ».
  4. Compétition : tant attendu, ce cycle permet de profiter de tous les efforts consentis durant l’hiver. Plus ou moins long, ce cycle sera consacré à entretenir les qualités acquises durant les périodes précédentes. Une saison peut contenir une à deux périodes de compétition, si l’athlète s’est programmé 1 ou 2 objectifs relativement éloignés (par exemple, un objectif début juin, et un objectif fin septembre). On inclura alors une mini- période de régénération puis un second cycle d’intensité et d’affûtage de durée adaptée entre les deux périodes de compétition.
    La PPS peut alors servir à la fois de récupération et d’affûtage entre les compétitions, là encore grâce aux efforts de type stato-dynamique, mais aussi via un rappel des exercices de gainage et de mobilisation (afin de retravailler dans des amplitudes articulaires plus importantes).
  5. La régénération : période de transition entre deux saisons, cette période sert à reposer un peu le corps de tous les efforts consentis durant une longue année de compétition, et ainsi se préparer à une nouvelle saison. On peut également, par exemple, pratiquer d’autres sports, en rapport direct ou non avec le triathlon, pour se « divertir » la tête et ainsi décupler son capital motivation pour la suite de la saison…

Attention :
Il existe 2 types de planification : celle indiquée ci-dessus, et une « variante » consistant à doubler la répétition de ces cycles dans une même saison. Dans ce cas (qui a mes faveurs, et qui est préférable pour le longue distance !), les blocs ont un durée moindre.

Dans le tableau ci dessous, je vous indique la construction d’une saison avec un objectif majeur (ce tableau est bien sûr à prendre d’une manière globale, et doit être adapté à chacun de vous…)

Petit résumé :

PERIODE
DUREE
TYPE EFFORT
Exemple
PPG
Rapport
volume/ intensité
BASE
12 à 20 semaines
Aérobie
2h vélo 70% FCmax
Concentrique
04-janv
INTENSITE
6 à 15 semaines
Anaérobie
course à pied  4*6’,85%
FC max, r= 4’
Excentrique/
concentrique
03-févr
AFFUTAGE
2 à 4 semaines
Selon distances
Efforts mixtes
Stato-dynamique
04-janv
COMPETITION
1 à 12 semaines
 
----
idem
---
REGENERATION
2 à 6 semaines
indifférents
----
----
---

Vous pouvez voir, en dernière colonne du tableau, un rapport entre la durée et l’intensité : cela représente l’équilibre qui doit être la « ligne directrice » des efforts consentis à l’intérieur d’une semaine. Ce rapport est fait sur une échelle comprise entre 1 et 5.
Par exemple, pour la période de base, les efforts devront être prioritairement dans la durée et minoritairement dans l’intensité. On peut transférer facilement ces rapports en pourcentage : la période foncière sera consacrée à 80% (4/5) à l’endurance, et à 20% (1/5) à l’intensité. La période d’intensité sera consacrée à 60% à l’endurance, et à 40% au développement de la vitesse…

 
Déc
Janv
Fév
Mars
Avril
Mai
Jui
Juill
PERIODE
FONCIERE
 
 
INTENSITE
 
AFFUTAGE
COMPETITION
 
Préparation physique
PPG
 
 
TRAVAIL DE FORCE
 
PPS
Entretien PPG
 
Type
d’effort
AEROBIE, avec beaucoup
de travail technique
 
 
ANAEROBIE :
travail VMA / PMA
 
 
PREMIER OBJECTIF
 
Exemple de séance
Natation :
10à 15*100NL, r30’’.
Vélo :
2h allure 1 en vélocité.
Course à pied :
1h00 avec 10 lignes
droites techniques.
Vélo :
4*
(6’ allure 2+ en force
/ 4’ récup Vélocité++)
 
Course à pied :
2* bloc : 1000+ (5*200)
 
 
Intensité
/ 10
5
6
5
8
9
9
5
4
Volume
/ 10
8
9
10
7
6
9
5
5

Construction d'un programme de course :

Avant toute chose, vous devez être en possession du calendrier des courses, ou vous devez au moins connaître les dates des courses que vous voulez ciblez. Ensuite, portez votre choix (si ce n’est pas déjà fait !) sur un ou deux objectifs majeurs MAXIMUM pour la saison : ces objectifs seront les courses pour lesquelles vous mettrez tout en œuvre pour réussir (cela peut aller d’un objectif club sur courte distance, à la quête d’une qualification sur Ironman…)

Ensuite, prenez un calendrier, et pointez ces dates.
Pour continuer, et ne pas limiter votre saison à ces 2 courses, regardez les courses qui vous plaisent le plus, et voyez si elles pourront être considérées comme compatibles avec vos objectifs, en respectant ces quelques règles :

  1. Ne pas mettre de course(s) une à deux semaines avant un objectif,
  2. Ne pas prévoir deux objectifs trop proches l’un de l’autre (prévoyez de 4 à 8 semaines environ),
  3. Rester logique dans les distances : ne prévoyez pas un MD deux semaines avant un objectif sur CD.

Une fois les dates « cochées », partez à l’envers (à partir des courses et à reculons !) et incluez vos différents « blocs période » (à l’envers, ça donne : affûtage, intensité, foncier) de la durée indiquée plus haut.

Vous avez l'architecture de votre programme de l'année !

Attention : Cette approche de la construction d’une saison ne représente qu’un aperçu des « lignes directrices » pour vous aider à construire votre plan d’entraînement : si vous avez des questions, je vous attends avec plaisir sur le forum et j’essaierai ainsi d’éclairer au maximum vos lanternes !

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2006 5 29 /12 /décembre /2006 09:12

.

Vous vous entrainez, vous travaillez, vous avez des enfants ... bref un agenda bien rempli.

.

mais les autres ils font quoi ?

et les supers extra forts ? hein ?

.

prenons l'exemple de ROMUALD LEPERS . français du beaune triathlon et qui travaille (un peu !) a coté

.

son palmares 2006 :

2006

32ème Ironman Klagenfurt (Autriche)
26ème Embrunman
212ème Ironman Hawaii
14ème Championnat de France Longue Distance (Gérardmer)
5ème Triathlon LD de Dijon (Champion de Bourgogne LD)
10ème Triathlon Sprint CLM du lac de Chour
12ème Triathlon LD de Troyes
13ème Triathlon LD de Belfort

ça donne en mois :

SAISON 2006

Total Saison 2006 : du 01/11/2005 au 31/10/2006
Nat : 305 km
Vélo : 8600 km
Cap : 1126 km

OCTOBRE 06
Nat : 28 km
Vélo : 800 km
Cap : 137 km

SEPTEMBRE 06
Nat : 38 km
Vélo : 920 km
Cap : 143 km

AOUT 06
Nat : 36 km
Vélo : 950 km
Cap : 131 km

JUILLET 06
Nat : 32 km
Vélo : 980 km
Cap : 137 km

JUIN 06
Nat : 39 km
Vélo : 1360 km
Cap : 153 km

MAI 06
Nat : 34 km
Vélo : 990 km
Cap : 126 km

AVRIL 06
Nat : 23 km
Vélo : 1400 km
Cap : 70 km

MARS 06
Nat : 35 km
Vélo : 735 km
Cap : 22 km

FEVRIER 06
Nat : 8 km
Vélo : 100 km
Cap : 0 km

JANVIER 06
Nat : 0 km
Vélo : 0 km
Cap : 20 km

DECEMBRE 05
Nat : 28 km
Vélo : 85 km
Cap : 110 km
Ski : 29h

NOVEMBRE 05
Nat : 4 km
Vélo : 280 km
Cap : 77 km
Ski : 3h

 ou en semaines

.

S42 (16/10 au 22/10)
Nat : 8.5 km
Vélo : 3260 km
Cap : 48 km
Hawaii : 9h40
Total : 17 h

S41 (09/10 au 15/10)
Nat : 8.5 km
Vélo : 120 km
Cap : 19 km
Total : 8 h

S40 (02/10 au 08/10)
Nat : 10 km
Vélo : 390 km
Cap : 36 km
Total : 17 h

S39 (25/09 au 01/10)
Nat : 9.1 km
Vélo : 240 km
Cap : 57 km
Total : 14.5 h

S38 (18/09 au 24/09)
Nat : 7.5 km
Vélo : 200 km
Cap : 44 km
Total : 12.5 h

S37 (11/09 au 17/09)
Nat : 9.3 km
Vélo : 180 km
Cap : 9 km
Total : 9.5 h

S36 (04/09 au 10/09)
Nat : 6 km
Vélo : 210 km
Cap : 35 km
France LD Gérardmer (6h54')
Total : 12 h

S35 (29/08 au 03/08)
Nat : 11.9 km
Vélo : 245 km
Cap : 39 km
Total : 15 h

S34 (21/08 au 28/08)
Nat : 8 km
Vélo : 240 km
Cap : 36 km
Total : 14 h

S33 (14/08 au 20/08)
Nat : 5.5 km
Vélo : 190 km
Cap : 42 km
Embrunman (11h20')
Total : 12 h

S32 (07/08 au 13/08)
Nat : 9 km
Vélo : 180 km
Cap : 10 km
Total : 10 h

S31 (31/07 au 06/08)
Nat : 7 km
Vélo : 185 km
Cap : 40 km
Sprint CLM Chour
Total : 13 h

S30 (24/07 au 30/07)
Nat : 11.5 km
Vélo : 285 km
Cap : 34 km
Total : 16 h

S29 (17/07 au 23/07)
Nat : 3.7 km
Vélo : 105 km
Cap : 0 km
Total : 5 h

S28 (10/07 au 16/07)
Nat : 8.5 km
Vélo : 260 km
Cap : 46 km
Ironman Klagenfurt
Total : 13 h

S27 (03/07 au 09/07)
Nat : 8.6 km
Vélo : 210 km
Cap : 28 km
Total : 11 h

S26 (26/06 au 02/07)
Nat : 10 km
Vélo : 240 km
Cap : 41 km
Triathlon MD Dijon
Total : 14 h


S25 (19/05 au 25/06)
Nat : 11 km
Vélo : 380 km
Cap : 47 km
Total : 20 h

S24 (12/05 au 18/06)
Nat : 10.6 km
Vélo : 410 km
Cap : 53 km
Total : 19 h

S23 (05/05 au 11/06)
Nat : 5.5 km
Vélo : 280 km
Cap : 12 km
Total : 12 h

S22 (29/05 au 04/06)
Nat : 10.5 km
Vélo : 230 km
Cap : 42 km
Total : 13 h

S21 (22/05 au 28/05)
Nat : 11 km
Vélo : 275 km
Cap : 23 km
Total : 13.5 h

S20 (15/05 au 21/05)
Nat : 6 km
Vélo : 190 km
Cap : 35 km
Total : 11.5 h

S19 (08/05 au 14/05)
Nat : 8 km
Vélo : 180 km
Cap : 32 km
Total : 12 h

S18 (01/05 au 07/05)
Nat : 3.5 km
Vélo : 300 km
Cap : 14 km
Total : 12.5 h

S17 (24/04 au 30/04)Corse
Nat : 5 km
Vélo : 420 km
Cap : 17 km
Total : 17.5 h

S16 (17/04 au 23/04)Stage Bormes
Nat : 4.7 km
Vélo : 545 km
Cap : 12 km
Total : 24 h

S15 (10/04 au 16/04)
Nat : 7.5 km
Vélo : 250 km
Cap : 7 km
Total : 13 h

S14 (03/04 au 09/04)
Nat : 2 séances = 2 h = 5 km
Vélo : 2 séances Route = 4.5 h = 135 km
Cap : 3 séances = 2h = 27 km
Total : 9 h

S13 (27/03 au 02/04)
Nat : 2 séances = 2 h = 4.6 km
Vélo : 5 séances : 2 HT + 3 Route = 9 h = 250 km
Cap : 2 h = 25 km
Total : 13 h

S12 (20/03 au 26/03)
Nat : 3 séances = 2.5 h = 6.7 km
Vélo : 4 séances : 2 HT + 2 Route = 5 h = 110 km
Test PMA : 2min à 400 W
Cap : 30 min
Total : 8 h

S11 (13/03 au 19/03)
Nat : 3 séances = 2.5 h = 7.6 km
Vélo : 7 séances : 1 HT + 6 Route = 9 h = 285 km
Total : 11.5 h

S10 (06/03 au 12/03)
Nat : 4 séances = 3.5 h = 9.9 km
Vélo : 5 séances : 4 HT + 1 Route = 5.5 h = 160 km
Total : 9 h

S9 (27/02 au 05/03) Reprise après 2 mois d'arrêt
Nat : 3 séances = 2.5h = 6.1 km
Vélo : 7 séances HT = 5h = 80 km
Test PMA : 1 min à 375 W
Total : 7.5 h

 Y a pas a dire FAUT Y'ENVOYER !!!! 

Partager cet article
Repost0
27 décembre 2006 3 27 /12 /décembre /2006 09:33

.

trouvé sur volodalen.com

.

Nous pouvons distinguer au moins trois grands types de déroulés de pied : les pronateurs, les supinateurs et les universels. Laissons, pour le moment, les deux premiers mots barbares de côté et commençons par découvrir l'appui universel.

Un coureur à l'appui universel (type "normal") commence le mouvement de déroulé par l'extérieur du talon.

- Avant d'arriver au sol, le pied est incliné vers l'extérieur. Quand le contact intervient, la pointe de pied est encore dirigée vers le dehors, les orteils sont relevés. Cette première phase dure environ 30 millisecondes (0,03s).
- Rapidement, l'appui progresse vers l'avant et l'intérieur du pied. A ce moment, la tension de la voûte plantaire augmente. En footing lent, le passage de l'arrière à l'avant du pied prend environ 100 ms (0,1s).
- Alors que l'appui arrive sur l'avant du pied, le mouvement de déroulé de l'extérieur vers l'intérieur continue de progresser. La force finale est donnée principalement par le gros orteil. Au dernier moment, le pied peut légèrement se rouvrir sur l'extérieur. La phase de propulsion s'étend sur un temps à peu près égal à celui de l'appui (100 à 120 ms).
Au total, le déroulé de pied au sol, pendant un footing lent, aura duré ¼ de seconde. Plus la vitesse augmente, plus ce temps baisse. Par ailleurs, à vitesse égale, un coureur "élastique" (ou feu) reste moins longtemps au sol, qu'un coureur "mou" (ou eau) (biomécanique/
la foulée).

Vue arrière (attaque chaussure et appui squelette)
et trajectoire de l'appui universel du pied droit au sol

Le déroulé du pied au sol est une caresse qui va de l'arrière à l'avant et de l'extérieur à l'intérieur du pied. Une caresse ?

Forces au sol
La mesure des forces verticales appliquées au sol pendant la course montre deux pics.
- le premier pic de force est le plus important. Il correspond au contact du talon avec le sol. A des vitesses moyennes, il représente environ 3 fois le poids du coureur.
- le second pic beaucoup plus évasé correspond à la force appliquée au niveau de la plante de pied au moment de la phase de propulsion.


Forces verticales appliquées au sol pendant l'appui lors d'une course à allure lente

Ce profil est celui présenté dans la littérature. Cependant, nous supposons que chez les coureurs "élastiques" courant à des allures élevées, les deux phases tendent à se confondre.

En course, les précautions d'usage consistent à éviter de mettre tout son poids sur les orteils ou le talon. Le risque est respectivement de se fatiguer, d'ébranler le corps et de ne pas avoir une foulée efficace.
Pour que la foulée puisse bénéficier de l'énergie élastique gratuite (
biomécanique), l'idéal pour le coureur est de limiter l'impact sur le talon et de tendre vers un appui fort sur la plante de pied. C'est à cette condition que la voûte plantaire et le tendon d'Achille - deux grands élastiques du corps - pourront intervenir dans la mise en réserve et la restitution de l'énergie (voir le secteur biomécanique).

1.2 Supinateur ou pronateur ?

La description que nous venons de donner représente un appui "standard" ou universel. Elle s'applique à 40-45% des coureurs. Par rapport à ce comportement moyen, deux autres déroulés peuvent être observés. Un déroulé plus extérieur (supinateur) et un déroulé plus intérieur (pronateur).

Supinateur
La supination est un terme utilisé en anatomie pour désigner à la fois un mouvement dynamique et une position statique. Dans les deux cas, il renvoie à l'adjectif "extérieur". Dans la version dynamique appliquée à la course, cela signifie que le pied tourne, selon son axe longitudinal, vers l'extérieur du corps. Le bord interne du pied a tendance à s'élever alors que le bord externe s'écrase sous le poids du corps.
Comme pour le mouvement universel, le déroulé débute sur la partie externe du talon. Mais ensuite, au lieu de revenir sur l'intérieur, il longe le bord externe du pied pour finalement marquer un retour sur l'intérieur en phase finale.

Vue arrière (attaque chaussure et appui squelette)
et trajectoire de l'appui supinateur du pied droit au sol

Environ 10% des coureurs seraient supinateurs alors que 40-45% seraient pronateurs.

Pronateur
La pronation renvoie à un mouvement vers l'intérieur (c'est à dire en direction de l'axe médian du corps = bascule interne).
Le déroulé commence, là encore, par l'extérieur ; mais rapidement, le mouvement de bascule sur l'intérieur s'enclenche et amène le poids du corps au-dessus du bord interne du pied. Le mouvement termine de manière marquée sur le gros orteil. Compte tenu de l'attaque externe, un talon usé à l'extérieur ne signifie nullement une supination. Ce qu'il convient de voir, c'est avant tout l'avant de la chaussure.
En cas de pronation très marquée, l'attaque au sol peut se faire directement par l'intérieur du talon. Ce comportement est cependant assez rare.

Vue arrière (attaque chaussure et appui squelette)
et trajectoire de l'appui pronateur du pied droit au sol

 

 

Partager cet article
Repost0